« Quelques jours plus tard, il remit à son éditeur, le fameux Edgar Firmin, deux cent quatre-vingt-trois pages vierges, sans titre, en lui annonçant que son œuvre était achevée, et qu’elle ne souffrirait aucune correction, aucun ajout, aucune modification. » C’est sans contexte l’un livres des plus enthousiasmants de cette rentrée littéraire morose, très certainement l’un des…