Maison près d’Orléans, 1830, Jean-Baptiste Camille Corot « J’ai, à Paris, deux amis écrivains de mon âge qui gagnent entièrement leur vie grâce à ce qu’ils écrivent. Ce qui paraît évident, irait-on supposer qu’un plombier gagne la sienne en disputant des tournois de tennis, ou inversement, mais il paraît que, dans le cas précis des…