« Dans les beuglants du silence, / le peuple des ormes / veille (encore) / sur la confrérie des mots mutilés. » Il faut écrire pour rien, c’est-à-dire pour tout, pour tous. Se situer dans cette zone aporétique où la poésie est vécue tout autant qu’écrite, inventée dans l’instant tout autant que pensée, bordée de mots et…