Ulysse, Mario Camerini, 1954 « Nous étions aux mois clairs, et j’étais merveilleusement seul. J’allais mal. Les champs fleuris n’y pouvaient rien. J’écoutais le bruit interminable de ma mort, je le gardais sous le casque ; je n’en laissais rien paraître. Je n’avais plus personne à aimer, ce qui s’appelle aimer, en ce monde. J’avais besoin d’un…