©Juan Sanchez Le monde est une vallée de larmes, tout tremble, fuit, meurt, se disperse. Rien ne reste attaché. Pourtant, certains lieux, certains êtres semblent plantés dans leur vie et le paysage depuis toujours. En composant Panadella, Juan Sanchez s’est employé à montrer un territoire de frontière où les personnes qu’il photographie paraissent errer dans…