« la marchandise est l’opium du peuple » Sur Mai 68, on écrit, on va écrire, n’importe quoi. Pourtant, les murs ont alors pris la parole, inventé des phrases de réveil, qu’il suffit d’écouter, de relire, de découvrir, dans toute la force de leur jeunesse, de leur audace et de leur implacable humour, pour avoir la sensation…