Je ne peux cesser de me souvenir

On connaît mal, voire pas du tout de ce côté-ci de l’Atlantique, la poésie chicano/a nord-américaine, écrite soit en anglais, soit en espagnol, soit dans un mélange des deux, et « non sans qu’y apparaissent des mots savamment incrustés du nahuatl, langue des Aztèques », selon les termes de la préface très éclairante du premier recueil publié…