Soleil d’automne et arbres, 1912, Egon Schiele « Chaque moment où la voix s’élève et commence à chanter, puis retombe et s’éteint, est d’une douceur indicible dans ce beau poème, qui m’a puissamment saisi par ses distances intérieures ; on le dirait bâti sur des silences ; quelques clôtures entourant le sans parole illimité : telles sont ses lignes….