Scène côtière vers 1892, Théo Van Rysselberghe On peut, comme Philippe Sollers, préférer Paul Claudel à André Gide, mais l’on peut aussi ne pas choisir, et lire chacun dans le feu qui le féconde, car enfin – parmi tant de titres – Paludes (1895), Les Nourritures terrestres (1897), L’Immoraliste (1902), Les Caves du Vatican (1914),…
Étiquette : Maria Van Rysselberghe
Gide et Malraux, une amitié capitale
« Les artistes ne viennent pas de leur enfance, mais de leur conflit avec des maturités étrangères. » (Les Voix du silence) Il faut toute la puissance d’une maison d’édition comme Gallimard pour publier, avec la fondation Catherine Gide, un livre aussi dense et richement illustré qu’André Gide, André Malraux, L’amitié à l’œuvre, 1922-1951, quand la curiosité…