« Ma chère mère, vous ignorez tellement ce que c’est qu’une existence de poète, que sans doute vous ne comprendrez pas grand-chose à cet argument-là ; c’est cependant là que gît ma principale frayeur ; je ne veux pas crever obscurément, je ne veux pas voir venir la vieillesse sans une vie régulière, je ne m’y résignerai JAMAIS ;…