©Matthieu Dorval « Je marche dans un tableau de l’école de Barbizon. » Il faut partir, quitter d’une façon ou d’une autre le mal social, le verbe empoisonné, les injonctions nauséabondes. Il faut regarder les mouvements de la Loire à Ingrandes, remonter des rives, voir le jour se lever à Chinon, écouter le silence à Murat, observer…