Lettre aux pères, par Ambre Husson, photographe

©Ambre Husson J’aime beaucoup le titre La nuit, tu mens, qui évoque tant de dérives, tant de stratagèmes pour ne pas affronter la solitude, tant d’amours d’un soir pour tenter de tromper la mort. On pense bien entendu à la chanson d’Alain Bashung (passage du « je » au « tu ») et à sa présence bouleversante sur scène…