A l’occasion de la parution, dans la nouvelle livraison des Cahiers de Tinbad, d’un excellent texte d’Eric Rondepierre sur l’artiste canadien Jeff Wall, j’ai souhaité prolongé avec lui une conversation commencée dans L’Intervalle il y a quelques mois. Evoquant en outre Confidential Report, son exposition en cours à la galerie Le Bleu du Ciel à…
Étiquette : Eric Rondepierre
Le soleil donne sans jamais recevoir, entretien avec Léa Bismuth, commissaire d’exposition
Pour Léa Bismuth, le nom de Georges Bataille est apparu, la première fois qu’elle l’a rencontré, comme un éclat dans la nuit. Fidèle à l’émotion ressentie lors de la lecture de L’Expérience intérieure, elle n’a eu de cesse, depuis cet événement fondateur, de chercher à s’approcher du mystère d’une œuvre évidente de génie et d’opacité…
L’événement de la disparition, par Eric Rondepierre (2)
Eric Rondepierre habite des images qui ne sont pas les siennes, mais qui lui sont pourtant intimement liées. Ayant dû « s’enfermer pour sortir » (dans les salles obscures de son enfance, dans son iconothèque personnelle, dans les cinémathèques du monde entier), le plasticien, célébré pour son travail sur l’inquiétante étrangeté de photogrammes ramenés à leur silence…
L’événement de la disparition, par Eric Rondepierre (1)
Eric Rondepierre habite des images qui ne sont pas les siennes, mais qui lui sont pourtant intimement liées. Ayant dû « s’enfermer pour sortir » (dans les salles obscures de son enfance, dans son iconothèque personnelle, dans les cinémathèques du monde entier), le plasticien, célébré pour son travail sur l’inquiétante étrangeté de photogrammes ramenés à leur silence…
Charlotte sometimes, portrait sur le fil d’une jeune maison d’édition
Charlotte sometimes n’est pas qu’une chanson du groupe The Cure. C’est aussi le nom d’une maison d’édition très singulière, généreuse, dont chaque livre est conçu comme un objet poétique et une aventure. Publiant des œuvres visuelles, Charlotte sometimes se décline en plusieurs projets, livres d’artistes, sérigraphies, revue. Merci à Charlotte, sa fondatrice, pour son bel…
La photographie comme théâtre des apparitions, par Marie Maurel de Maillé
Pier Paolo Pasolini distinguait un cinéma de prose d’un cinéma de poésie. A bien des égards, le travail photographique de Marie Maurel de Maillé se rattache à cette deuxième catégorie. Epanchement du songe dans la vie réelle, ses images relèvent à la fois de l’intime et de la création d’une contre-allée, désirable, habitable, sortes d’hallucinations…