Joyeux, décalé et lucide

Une atmosphère de menace et de stupeur. Une sensation d’étouffement. Un mystère qui persiste. Des voix. L’impression obsédante d’un mal métaphysique de nature monstrueuse, d’une méchanceté fondamentale (mais quelle faute expier ? De toute façon, les derniers Indiens ont été massacrés, laissant enfin place à la civilisation), comme si la terre elle-même (les prières sont impuissantes)…