En avril 2013, Georges Didi-Huberman découvre Athènes, « sans doute un paradis de culture ». Pourtant, ce qui frappe d’abord le grand historien d’art est « l’intolérable en acte qui nous dit violemment ce que devient l’Europe aujourd’hui ». Une barbarie quotidienne au musée de l’Acropole et les fantasmes de blancheur de ceux qui la rénovent – récemment…