Les mange-pas-cher, ou Thomas Bernhard, l’isolé absolu

Pour analyser comme il se doit les œuvres de l’écrivain autrichien Thomas Bernhard (1931-1967), il faudrait être un fin musicologue, et être capable de transposer ses phrases sur une portée musicale afin de repérer les récurrences de structures, les répétitions de mots, les déplacements savants. La musique bernhardienne n’est nullement un ornement, quand le jeu…