Amazuz, festin de récits, par les ami.e.s de la revue Edwarda

©Chiraz Chouchane « Enfance est un mot torve. Un refuge facile comprenant tous les mensonges dont l’on ne se sait pas capable, les rêveries, les passés déformés, les envies inavouées. C’est un incommensurable. Une mélancolie très claire, un souvenir flou, un instant qui ne sera jamais figé dans le temps, que l’on revit lorsque le présent…

L’amour de la littérature et de la sensibilité, par la revue Edwarda

Landscape, 1897, Albert Pinkham Ryder « Pour reprendre un titre de Jean Genet, nous sommes tous les captifs amoureux, les captives amoureuses d’une ou de plusieurs créations littéraires qui, à la pulsion de mort, opposent la puissance de la Lettre comme pulsion de vie. » (Sam Guelimi) Il est des lieux où le feu de la littérature…

L’apaisement, mais follement, par la revue Possession Immédiate

    « … je sortais de la guerre doucement gâteux, peut-être bien, à la manière de ces splendides idiots de village… » La phrase est de Jacques Vaché, mais elle pourrait désigner le projet moral du dernier numéro de la revue Possession Immédiate : sortir de la guerre, peut-être plus idiots, moins idiots, idiots, à la façon…