Michel Leiris/Marcel Jouhandeau, la force et les tourments de l’amitié

André Masson, The Kill, 1944, MoMA « La Beauté m’était apparue en toi. Tu n’y étais pour rien. […] Dès notre première entrevue, j’ai eu peur de toi. Je savais que j’étais menacé, il y avait quelque chose en toi qui me troublait. » (lettre à Michel Leiris  non envoyée par Marcel Jouhandeau) On ne le sait…

Ecrire, à perdre la tête, par Michel Leiris

« l’érotisme « épouvantable en même temps que si beau », tel qu’il m’apparaît : je ne puis plus penser à des seins, à des gestes érotiques sans avoir envie de pleurer. Tant de candeur, tant d’espoir pour en arriver là ! Quelle mécanique ! Haine de ma mère… Pourquoi – jamais – n’ai-je été réellement amoureux » (Michel Leiris, 29 janvier…