© Gerard Rondeau Il faut imaginer le dernier livre de Marcelin Pleynet, Le retour (roman), comme une amphore contenant un vin doux, et dont l’auteur aurait malicieusement pris plaisir à casser les bras. Ponts rompus, vous voici sur une île parmi les dieux et les éphémères. L’argument tient en quelques mots, aucun bavardage : un…