Contre la barbarie, par Klaus Mann, écrivain

« Je souhaiterais n’avoir jamais écrit une ligne qui n’eût pas résulté pour moi – pour moi personnellement – d’une nécessité absolue, qui n’eût pas été une confession mise en forme, organisée, et donc une œuvre d’art. J’aimerais n’avoir jamais publié une ligne qui n’eût, de manière infime, infinitésimale, contribué à éclairer l’énorme confusion que connaît…

Thomas Bernhard, le cataclysme, par Gemma Salem, écrivain

« Ah Fellini lui manque ! Marcello lui manque. Gainsbarre lui manque. Orson lui manque. Où sont passés les types comme ça ? » J’écris beaucoup, certes, mais je chronique bien moins de livres que je n’en reçois, tant nombre de textes publiés me semblent inutiles, mal écrits, naïfs, moimoiesques, pleins de bons sentiments, d’un humanisme facile, et franchement…