La suite, c’est l’infini, par Antonio Jiménez Saiz, photographe-écrivain

©Antonio Jiménez Saiz « le martel dément (le martèlement) / / le martèlement le martèlement le martèlement » Vous connaissez peut-être, sûrement, le nom et le travail du photographe Antonio Jiménez Saiz, dont je suis attentivement le travail depuis plusieurs années. Avec son dernier opus, La procession des rythmes, certes encore parsemé d’images (le serpent du sacré,…