Comme une maîtresse, Charles Baudelaire à sa mère, une correspondance

« Je t’aime, je t’aime beaucoup ; je suis plein de tristesse ; j’ai besoin de beaucoup de force. Demande pour moi cette force à Dieu. Peut-être cela m’aidera-t-il à la trouver. » (lettre de Charles Baudelaire à sa mère, 3 septembre 1865) J’ai publié en novembre 2017 dans L’Intervalle une chronique de l’excellent recueil des lettres de Charles…