Tempus fugit, tempus jouit, ou l’œuvre carnavalesque de Roland Sénéca

On n’attrape pas l’Indien Sénéca, graveur pariétal de son état, comme on attrape des mustangs dans un film de John Huston. Parce que ce diable d’homme fuit de partout, et ne cesse d’échapper à toute tentative de réduction. Vous l’avez compris, la servitude volontaire n’est pas pour lui.   Homme fontaine, comme il y a…