Le Spleen de Téhéran, et les merveilleux nuages, par Jafar Panahi

Il y a chez les cinéastes iraniens contemporains (Abbas Kiarostami, Jafar Panahi, Asghar Farhadi, Moshen Makhmalbaf) comme un goût de l’errance (de préférence en voiture), de la mise en abyme (vertige borgésien des récits) et de la métaphysique (l’arbitraire d’un emprisonnement n’est pas impossible) faisant des œuvres de ces artistes de vrais objets de fascination…