« Avec la globalisation, les disparités se fondent en une mêmeté amorphe. L’ « ailleurs » interne, qui semblait particulièrement réfractaire, n’a pas résisté à l’entropie : l’imaginaire des enfants est formaté par les jeux vidéo, et celui des malades mentaux par les antidépresseurs. » Ainsi commence, ou presque, la deuxième édition de Requiem pour la folie, du spécialiste de l’art…