« Dans les trois dernières années, les trois derniers mois, les trois dernières semaines de sa vie, Jean Eustache n’était pas le fantastique reclus halluciné, égaré en ses rêves, à jamais coupé du monde, mi-Howard Hughes, mi-Mabuse, que d’aucuns se plaisent à portraiturer. » (Sylvie Durastantià Je voulais tout écrire de mes impressions consécutives à la lecture…
Étiquette : Angèle de Foligno
Il y a toujours trop de rose dans la prose
Enseignant à l’Ecole normale supérieure de Lettres et Sciences humaines de Lyon, responsable du Centre d’études poétiques, Jean-Marie Gleize est aussi directeur de la revue laboratoire Nioques, créée en 1990. Pour Jean-Marie Gleize, l’écriture est d’abord une expérience. Conversation à l’occasion de la sortie de son dernier opus, Le Livre des cabanes, aux éditions du…