C’est un livre que je n’ai pu ouvrir qu’en le fermant immédiatement, tant il m’a d’abord effrayé. Un livre de peine, de mort, d’épouvante, et peut-être aussi de summum de vie dans la destruction même du corps qu’il met en scène. C’est une œuvre de la Norvégienne Lene Marie Fossen, qui, à l’âge de dix…