© Jacques Mataly « Ici, à la fin des terres, face à l’Atlantique, face à la vaste forge d’eau où chaque vague, chaque ruée du large, arrachant au rivage une chevelure de sable, heurte la roche comme un crâne dur, j’écoute une parole sans sommeil, sans cesse renaissante, sans commencement ni fin. » En offrant au photographe…