Il faut imaginer Alain Willaume, enfant, plongé dans la lecture d’un atlas grand ouvert, comme on parcourt d’abord le monde en rêveries et sensations colorées, avant de se frotter physiquement à sa géographie. Photographe de l’inquiétude d’être au monde, Alain Willaume est aussi paradoxalement celui de la dissolution de l’ego dans le paysage, le visage…