« Dans l’absence de T., sur l’île d’Elbe, où pour la première fois je suis sans lui, ce n’est pas tant lui qui me manque (mais cela n’est pas dit sans affection) que le drame qu’il suscite, et par là l’écriture. Sans lui, je n’écris pas, voilà la réalité, il écrit autant que moi en mettant…