T, t’étais où ? par Azimut, volume 6

Voilà, c’est fini, tout peut recommencer. Le voyage prend fin à la lettre T, il peut se rêver ailleurs, autrement. Sixième volume de la série AZIMUT (lire dans L’Intervalle mes cinq autres articles), ce dernier tome regroupe les travaux photographiques d’Olivier Culmann, Laure Flammarion & Nour Sabbagh, Bertrand Desprez, Julien Mignot et Thierry Ardouin. Le…

Je dis M, par AZIMUT, une aventure photographique (4)

Le mot AZIMUT comporte six lettres, soit six destinerrances menées par quelques solitaires parcourant les routes de France depuis Montreuil, dans une continuité de pas ayant pour objectif de redécouvrir le territoire français par les chemins de traverse en se redécouvrant soi-même dans l’expérience de la marche. Conçu par le collectif Tendance Floue, chaque volume…

La réinvention du lieu, par Azimut, projet du collectif Tendance Floue (3)

Le paysage est loin de n’être que pure extériorité. Bien au contraire, il se pratique, se vit, s’expérimente, entre accueil et résistance, rejet et appel. Les dériveurs du collectif Tendance Floue l’ont bien compris, qui depuis Montreuil se relaient pour retrouver par les pieds un état de disponibilité à ce qui est, ou arrive. Le…

L’offrande des hommes, des lieux et des non-lieux, Azimut, un projet du collectif Tendance floue (1)

Azimut est un mot d’origine arabe, passé au XIIIème siècle par l’Espagne, et signifiant chemin. Azimut, c’est aussi un formidable projet porté par le collectif photographique Tendance floue. « En étape, et en se passant le relai, les photographes de Tendance floue et leurs invités pérégrinent à travers le territoire français. L’itinéraire de chacun est libre. »…

Photographier la menace, par Alain Willaume

A l’occasion de la présentation de sa série Echos de la poussière et de la fracturation à l’exposition Autophoto actuellement en cours à la Fondation Cartier (Paris), j’ai souhaité interroger Alain Willaume sur la genèse et la réalisation de ce très beau travail. Photographe pour qui la fiction n’est pas l’envers de la réalité mais…