Théo Mercier en collaboration avec Tiphaine Buhot-Launay, Je t’aimais, je t’aime et je t’aimerai (2022) © Yohanne Lamoulère /Tendance floue « L’art est ce qui rend la vie en Ephad plus intéressante que l’art » (Roberto Tilliou, résident) Ouvrage collectif au format cahier d’écolier reprenant une partie de la collection permanente de LBO initiée par les écrivains…
Étiquette : Mohamed El Khatib
Quand les parents se séparent, par Mohamed El Khatib, dramaturge, et des enfants de huit ans
©Emine Karali Quand les parents se séparent, les enfants ne comprennent pas toujours, ou trop bien. La situation est pénible, voire inacceptable, mais ils savent depuis longtemps au fond que la rupture était inévitable. Quelle image donnons-nous de l’amour à nos enfants ? Quelle représentation donnons-nous de la vie à deux ? Que transmettons-nous de notre joie,…
L’objet brille dans le fantasme, par Gwenaëlle Aubry, Mohamed El Khatib, Vincenzo Sorrentino
Je n’ai pas trop réfléchi, j’avais besoin de secours. J’ai pris trois livres, au hasard, en espérant que ce soient les bons. Pas forcément les plus glosés ou les plus vendus, la littérature, l’écriture, la philosophie, ne se jugent pas au nombre de médailles reçues lors des comices agricoles. J’ai cherché des phrases, j’ai lu…
Marseille, la mélancolie et alors ? par Yohanne Lamoulère, photographe
A Marseille, ville populaire et multiculturelle, se joue le destin de l’Europe. Tel est le point de vue ici développé par Yohanne Lamoulère, photographiant la diversité d’une ville qui pourrait être une utopie pour demain, si les déchirures ou les actions politiques à visée publicitaire ne détruisent pas la richesse d’un lieu tentant cahin-caha, de…
Les meilleurs publics de France, par Mohamed El Khatib, Yohanne Lamoulère et Daniel Kerh
La quatrième de couverture de Stadium, de Mohamed El Khatib (éditions Les Solitaires intempestifs) est tellement énorme, géniale, qu’il est impossible de ne pas la recopier. « Mon grand-père, il a toujours voulu qu’on disperse ses cendres au stade Bollaert [Lens], il disait : « ça fera de l’engrais. » Donc, à sa mort, on s’est pointés avec l’urne,…
A la recherche du texte insoluble – Parages, naissance d’une revue théâtrale
Sur le front assez déserté de la critique théâtrale de qualité, la parution du premier numéro de Parages, revue concoctée par le Théâtre National de Strasbourg (TNS – direction Stanislas Nordey) est une excellente nouvelle. Le théâtre est cet espace propice à l’accueil des fantômes, verbe vibrant fait chair flottante incarnée, ayant besoin, pour s’épanouir,…