©Max Pam « C’est à cette époque [1958] que j’ai pris ma première bonne photo, avec un appareil Kodak Retina qu’on m’avait prêté. Quand je le regarde aujourd’hui, je me dis qu’il y est surtout question de sexe et de bagnole, mais je ne suis pas sûr que ce soit ce que je voulais montrer alors,…
Étiquette : Pierre de Vallombreuse
Un chant lithique, par David Wahl, écrivain de gai savoir
« C’est quand même peu banal, un Castrais qui découvre le sexe des pierres. » J’aime beaucoup les livres de gai savoir, où le lecteur hésite entre le canular et la fantaisie scientifique la plus assurée. Avec Le sexe des pierres, le comédien, dramaturge et écrivain David Wahl nous fait découvrir le grand œuvre du Castrais Pierre…
Défendre les peuples autochtones, et le divers, par Pierre de Vallombreuse, photographe
©Pierre de Vallombreuse Après le succès immédiat du premier volume de la collection 36 vues consacré aux photographies de Bernard Plossu – le principe est de demander à chaque photographe sélectionné de commenter ses images -, Rémi Noël offre son deuxième titre au photographe globe-trotteur témoin des menaces pesant sur les peuples autochtones, Pierre de…
La naissance d’un professeur, par Pierre de Vallombreuse, photographe
« Jason limitait les dégâts au prix d’efforts épuisants. Je le croisais, liquéfié : traits tirés, gestes nerveux, cheveux en bataille, yeux enfoncés. Il luttait pour rester inébranlable face aux assauts de la classe qui, l’ayant pris en grippe, multipliait les piques pour le faire choir de son piédestal. Quel autre choix avait-il ? Aucun. Tenir, juste tenir….
Lost Grace, avec les Palawan, par Pierre de Vallombreuse, photographe
©Pierre de Vallombreuse L’impression en riso, proche d’une sérigraphie mécanisée, donne aux images une qualité de vie et d’expressivité remarquables. Publié chez Editions Bessard dans la belle collection L’Atelier Risographique (un nouveau titre d’Elie Monferier vient de paraître), Lost Grace est un volume, conçu par Pierre de Vallombreuse, dédié au peuple Palawan (Philippines), dont le…
Vinaigrette, revue moléculaire de photo/poésie, par sa conceptrice Sandrine Cnudde
Connaissez-vous Vinaigrette, petite publication associant poésie et photographie, dont Sandrine Cnudde est la conceptrice ? Une feuille A4 pliée renfermant une photographie, un seul auteur par numéro, produisant à la fois le texte et la photographie, une parution tous les deux mois, la forme d’une lettre à poster, telle est cette revue originale, modeste et très…
Les apatrides de la mer, par Pierre de Vallombreuse, photographe
© Pierre de Vallombreuse Badjaos, du photographe Pierre de Vallombreuse, est un carnet de voyage en mers du Sud, un livre fragile, un esquif, il est superbe. Consacré aux nomades des mers, à leur grâce, à leur rire, à leur vitalité, mais aussi à leurs immenses difficultés, cet ouvrage est une approche douce, fascinée, et…
Possession Immédiate, des éclats de joie, par John Jefferson Selve et ses amis
Quelque chose va se produire, se produit, nous sommes trop tristes, trop isolés, trop malades, trop inquiets. Il nous faut des astres, et des brassées de rires, et des mains à serrer, et des bouches à aimer. « C’était une nuit extraordinaire, écrit Jean Giono. Il y avait eu du vent, il avait cessé,…
Le désert croît, par Pierre de Vallombreuse, photographe
Pierre de Vallombreuse est un homme constamment en mouvement, amoureux de la planète Terre au point de se désespérer totalement de son avenir, travaillant pourtant sans relâche à la reconnaissance et préservation des peuples autochtones et de la biodiversité. Sensible aux blessés de l’Histoire, aux invisibles, son œuvre photographique est une tentative de préserver une…
Les Palawan en leur forêt d’émeraude, par Pierre de Vallombreuse, photographe
Les Palawan vivent au sud de l’île de Palawan aux Philippines, parfois de façon très isolée, lorsque leur habitat est celui de l’intérieur des terres et que l’appétit des colons envieux de leurs richesses naturelles les pousse à s’enfoncer toujours plus loin dans la forêt. Les Palawan pratiquent le brulis, la cueillette et la chasse,…
Editer des livres de photographie, un métier d’art, par Marie Sepchat, fondatrice de the(M) éditions
En quelques titres parfaitement édités, immédiatement reconnaissables par le soin apporté à leur fabrication, Marie Sepchat, fondatrice de the(M) éditions, a réussi à imposer son nom, synonyme d’exigence et de qualité. Conçus comme des objets-livres, publiés en édition limitée, ses ouvrages peuvent être considérés en soi comme des œuvres d’art. Les amateurs ne s’y trompent…